Excellent tireur de coups francs, il est considéré comme l'inventeur de la frappe en « feuille morte »[166]. La victoire en finale sur le même score (avec des doublés de Vavá et de Pelé et deux passes décisives de Garrincha) face au pays hôte, la Suède, est une véritable libération pour la sélection, la première à remporter une Coupe du monde sur un autre continent que le sien. Champion du monde en 1994, il est célèbre pour avoir participé à six éditions de Coupe du monde comme entraîneur, un record[153] : deux fois avec le Brésil, en 1994 et 2006, mais aussi avec le Koweït en 1982, les Émirats arabes unis en 1990, l'Arabie saoudite en 1998 et l'Afrique du Sud en 2010. Ce nouveau maillot est utilisé pour la première fois en mars 1954 contre le Chili, et n'a depuis jamais été remis en question[143],[26]. Le 21 juillet 1914 une sélection commune de joueurs de Rio de Janeiro et São Paulo affronte à Rio de Janeiro le club anglais d'Exeter City, en tournée en Amérique du Sud. Sous la direction d'un jeune entraîneur de 38 ans, Mário Zagallo, qui remplace au dernier moment João Saldanha, le Brésil va en survoler la phase finale au Mexique. Rivaldo remporte à son tour le Ballon d'or en 1999, après un nouveau triomphe en Copa América, dont il est le meilleur buteur et meilleur joueur[181]. Dans les années 1920 et 1930, le championnat sud-américain des nations sert de phase qualificative pour les Jeux olympiques. Julio Baptista et Maicon ont parfaitement tenu leur rôle de cadres et Robinho, meilleur buteur du tournoi, en est élu meilleur joueur[100]. Click here to request Getty Images Premium Access through IBM Creative Design Services. Les deux premiers de chaque groupe accèdent au deuxième tour, où elles se retrouvent dans deux poules de quatre. Matchs en direct de Bresil : calendrier, scores et resultats de l'equipe de foot de Bresil (La Selecao) Les gagnants de chaque poule jouent la finale, et les deuxièmes le match pour la troisième place, Le match Argentine-Brésil de 1978 est surnommé. Au bout d'un match riche en émotions, le Brésil est éliminé aux tirs au but. Il atteint sans Bebeto ni Romário la finale de la Copa América 1995, perdue aux tirs au but face à l'Uruguay. Le Brésil passe son premier test d'importance face aux Pays-Bas. Une finale est organisée pour les départager, que les Argentins remportent après prolongation (2-0)[t 7]. Tout jeune champion du monde en 2002, Kaká succède à Ronaldinho au palmarès du Ballon d'or en 2007, mais n'a pas connu depuis la consécration de ses prédécesseurs en sélection. Le format de la compétition est atypique puisque, pour éviter la tension de la finale, il est décidé que le champion du monde est sacré à l'issue d'un mini-championnat entre les quatre meilleures équipes. Plusieurs fois qualifié en tant que tenant du titre, le Brésil n'a disputé que douze phases éliminatoires lors des vingt-et-une premières éditions de la Coupe du monde, entre 1930 et 2018. La très jeune sélection, bâtie autour du buteur Larry, 19 ans, est éliminée en quart de finale par les Allemands. Un premier championnat est mis en place en 1902 à São Paulo. En décembre en Équateur, le Brésil envoie par contre une sélection de l'État du Pernambouc, qui termine a la 3e place[t 11]. Les Auriverdes remportent facilement leur groupe au 1er tour avec trois victoires en autant de matchs sur l'Union soviétique (2-1, malgré une erreur du gardien brésilien), l'Écosse (4-1) et la Nouvelle-Zélande (4-0). Après plusieurs jours d'enquête, le gardien de but avoue. La « vraie » sélection brésilienne part elle en tournée en Europe, où elle rencontre les principales nations du continent. Lors des deux éditions suivantes, en 1945 et 1946, elle termine à la 2e place, derrière l'Argentine. Le record de Taffarel est dépassé quelques années plus tard par les inoxydables arrières latéraux Roberto Carlos et Cafu, qui forment une paire aux qualités offensives inédites[183]. En demi-finale, face à une France qui impressionne par sa puissance offensive mais qui est affaiblie par la blessure de son capitaine Robert Jonquet, le Brésil l'emporte 5-2 grâce à un triplé de Pelé[33]. Menés 2-0 à la mi-temps, ils réagissent et s'imposent finalement (3-2). Les Auriverdes remportent ces deux trophées[t 12], tout comme en 1961 les Coupe Bernardo O'Higgins et Coupe Oswaldo Cruz (pt), respectivement face au Chili et au Paraguay. Tous les clubs brésiliens souhaitent voir leurs meilleurs joueurs en Seleção et essaient par tous les moyens d'y parvenir, ce qui provoque des querelles internes[37]. Le triomphe brésilien paraît logique tant ils ont dominé une compétition marquée par la brutalité des autres sélections[36]. Le Maracanã est au quotidien partagé par les clubs de Fluminense et Flamengo. Alors qu'un score de parité les qualifie, les Brésiliens continuent à attaquer et sont finalement punis par Rossi, buteur une 3e fois. Le Brésil fait de nouveau l'impasse sur le Championnat d'Amérique du Sud en 1955 puis se classe à une modeste 4e place l'année suivante avec deux victoires en cinq matchs. L'Équipe du Brésil olympique de football représente le Brésil lors des compétitions de football espoirs telles que les Jeux olympiques d'été. Légende du classement sud-américain : La sélection brésilienne porte plusieurs surnoms. Alors que les deux sélections jouent en jaune, le tirage au sort offre à la Suède le privilège de jouer dans ses couleurs. La Confédération, avec l'aide du journal Correio da Manhã, organise un concours pour dessiner un nouveau maillot. Le fan de ballon rond, mais aussi le touriste curieux, ne pourra pas refuser la possibilité offerte d’aller voir un grand match de football dans un lieu mythique comme le Morumbi de São Paulo ou le Maracanã de Rio de Janeiro. Lors du match qui opposait le Pérou au Brésil (2-4), la star du PSG a réalisé un triplé : - Deux penalties (28ème et 83ème minute) - et un but (94ème minute). Comme avec l'Argentine, un trophée a été mis en jeu entre les deux pays, la Copa Rio Branco, disputée à dix reprises entre 1931 et 1976. Ce surnom reste au masculin singulier, de la même façon que pour l'équipe de France on dirait l'équipe du Coq au singulier et non l'équipe des coqs au pluriel. La 5e étoile de 2002 est l'œuvre des « 3 R » brésiliens : Rivaldo, Ronaldo et le plus jeune Ronaldinho[184],[185]. Les Brésiliens, qui n'ont pas de jeu de rechange, achètent au dernier moment un jeu de maillots bleus pour le match[144]. Pourtant la sélection brésilienne a disputé de nombreuses finales : en 1995, lors de la 37e édition du tournoi, le Brésil perd ainsi face à l'Uruguay sa 11e finale. Dans l'équipe mondiale du XXe siècle, rendue publique en 1998 sous l'égide de la FIFA, Pelé est accompagné de trois compatriotes et coéquipiers : l'ailier Garrincha, considéré comme l'un des meilleurs dribbleurs de l'histoire, et les arrières latéraux Nilton Santos et Carlos Alberto Torres. Le « désaccord des champions » entre le Brésil et l'Angleterre se montre à la hauteur des espérances, le Brésil gagnant 1-0[2] au bout d'un match de qualité. Diminuée et éloignée des standards du professionnalisme qui prévaut en Europe, elle s'incline au premier tour face à l'Espagne (3-1)[16]. Scolari s'appuie sur le « Ri-Ro-Ro », un trio offensif de grand talent composé de Rivaldo, Ronaldinho et Ronaldo. Le duel entre Argentine et Brésil fait partie des classiques du football sud-américain. C'est leur première victoire dans le tournoi depuis 27 ans. Ils brisent la malédiction des tirs au but (0-0 ; 4-3) et retrouvent leur rival argentin en demi-finale. Supportez l'Equipe du Brésil et habillez-vous aux couleurs de la Seleção ! En quart de finale, le Brésil et la Tchécoslovaquie se tiennent en échec lors d'un match d'une rare violence, resté dans les mémoires comme la « bataille de Bordeaux ». À titre de comparaison, l'Allemagne en a disputé 14 (en dix-neuf éditions). En 1946, une fois la paix revenue, la FIFA confirme le choix du Brésil comme organisateur de la prochaine Coupe du monde, en 1950. Vertement critiqué, Zagallo quitte la sélection. Dominés dans le jeu, les Brésiliens tentent de compenser par l'agressivité. Même chose, et de manière plus cruelle lors de la Copa América Centenario, célébrée à l'occasion des cent ans de la création de la compétition. Le traitement dont sont victimes les attaquants, et particulièrement Pelé, durant le tournoi, permis par la passivité de nombreux arbitres, participe également à la contre-performance : les défenseurs n'hésitent pas à tacler violemment ou frapper l'attaquant brésilien qui, blessé, ne joue pas contre la Hongrie et n'a pas son influence habituelle contre le Portugal. Le Brésil retrouve en finale une Argentine au complet, qu'elle bat sèchement (3-0). Deux défaites face à l'Argentine puis la France (1-0) et quelques autres matchs décevants valent à Menezes d'être vivement critiqué par les médias. Illustration de son image dans le monde, il sera après sa retraite nommé ambassadeur de l'ONU et la FIFA[l 7]. Dernier du championnat d'Amérique du Sud en 1923 et 2e sur trois en 1925, le Brésil manque toutes les autres éditions du tournoi continental pendant les années 1920 et ne peut ainsi concourir aux premiers tournois mondiaux organisés dans le cadre des Jeux olympiques de 1924 et 1928, remportés tous deux par l'Uruguay. La sélection brésilienne attaque la Coupe du monde 2014 parmi les favoris. Le Brésil passe le premier tour en écrasant le Mexique (5-0) et en tenant en échec la Yougoslavie (1-1 ap), mais il est éliminé en quart de finale par le « Onze d'or hongrois », alors considéré comme la meilleure équipe du monde (4-2). La rivalité se prolonge enfin dans le débat sans fin de savoir qui de Pelé ou Diego Maradona est le meilleur joueur de l'histoire du football. Ils sont tout près d'être éliminés par le Danemark des frères Laudrup (3-2) en quart[91] puis par une belle équipe des Pays-Bas en demi-finale (1-1, 4-2 aux tirs au but)[92]. Le Brésil fait l'impasse sur le Championnat sud-américain de 1967 et lui préfère ses trophées bilatéraux, comme la Copa Rio Branco, disputée en 1967 et 1968 avec l'Uruguay. Il mène l'année suivante la sélection olympique en finale de la Gold Cup de la CONCACAF. Avec une sélection expérimentale, le Brésil devance l'Argentine et le Venezuela en poule. Cet article relate le parcours de l’équipe du Brésil de football lors de la Coupe du monde de football 2018 organisée en Russie du 14 juin au 15 juillet 2018. Malgré les protestations de Lionel Messi sur l'arbitrage[139], le Brésil l'emporte 2-0 et atteint la finale. Le match est interrompu et les Chiliens refusent de revenir sur le terrain. Le Brésil se qualifie aisément pour la Coupe du monde de 1970 avec six victoires en autant de matchs. Pour sa 2e année, il remporte la Coupe du Bicentenaire de l'Australie avec la sélection A et atteint avec la sélection olympique la finale des Jeux de Séoul, perdue face à l'Union soviétique. Verde-Amarela (en français : « Verte-jaune ») au féminin est le troisième surnom, en référence aux couleurs du drapeau brésilien. Tout comme celui de l'ailier brésilien Jairzinho, qui a marqué au moins un but dans chacune des six rencontres que le Brésil a jouées[49]. {{collectionsDisplayName(searchView.appliedFilters)}}. En 1970, il remporte définitivement le trophée Jules-Rimet, mis en jeu lors de la première édition[2]. En réponse à l'échec de 1974, il entend apporter à la Seleção certains principes tactiques en vogue en Europe et une plus grande rigueur sur le terrain. Malgré la défaite finale face à l'Uruguay, il est élu meilleur joueur de la Coupe du monde 1950[165]. Avec cette troisième couronne mondiale après 1958 et 1962, le Brésil gagne le droit de conserver le trophée Jules-Rimet[48]. Les joueurs brésiliens sont médusés, les supporteurs furieux. Cependant l'optimisme laisse vite place aux doutes : malgré leur première place dans le groupe C, les Brésiliens perdent Neymar à la suite du match contre la Colombie[113],[114]. Il devient le 2e maillot officiel lors de la Coupe du monde de 1958, quand le Brésil affronte la Suède en finale. En finale, il s'incline face au pays hôte (2-1)[66],[t 16]. La sélection rehausse son niveau contre la Serbie pour le troisième match de la phase de poule (2-0), puis gère son match face au Mexique en huitième de finale (2-0). Les Brésiliens sont de nouveau éliminés en demi-finale, par le Paraguay, qui l'emporte à Asuncion (2-1) puis tient le match nul au Maracanã (2-2)[65]. En 1999, la FIFA décide que les matchs de football disputés dans le cadre des Jeux olympiques à partir des Jeux olympiques de Rome de 1960 ne comptent pas comme sélection nationale en équipe A[141]. Pelé, dispensé de sélection pendant deux ans, remporte la Supercoupe des champions intercontinentaux avec son club de Santos. C'est la première fois dans le monde du football brésilien que l'équipe du Brésil de football encaisse dix buts en deux matches de coupe du monde. En 1930, l'Uruguay compte à son palmarès six trophées sud-américains, deux médailles d'or olympiques et la première Coupe du monde ; l'Argentine quatre trophées sud-américains, une médaille d'argent olympique et une finale lors de la première Coupe du monde. Leão est écarté pour laisser la place à Luiz Felipe Scolari. En grisé, l'équipe du Brésil ne dispute pas la compétition en question. Avec Carlos Alberto Parreira sur le banc, le Brésil remporte la Copa América 2004 puis la Coupe des confédérations 2005, une épreuve où il impressionne les observateurs, se posant en favori de l'édition 2006 de la Coupe du monde. Carlos Alberto Parreira a lui aussi connu trois mandats à la tête du Brésil, en 1983-1984, entre 1992 et 1994 puis de 2003 à 2006. Pour l'équipe féminine, voir, Autres maillots utilisés par l'équipe du Brésil, Équipes nationales masculines de football vainqueurs de la, L'ère du tandem Garrincha-Pelé (1958-1971), Une deuxième victoire portée par le génie de Garrincha, Une longue période de disette (1972-1990), Le « football samba » de Telê Santana (1980-1986), Le retour de Dunga et les échecs en Copa America, Participation aux autres compétitions mondiales, Os ingleses o inventaram, os brasileiros o aperfeiçoaram. Son premier test est le Mundialito, un tournoi réunissant toutes les sélections championnes du monde, organisé par l'Uruguay en janvier 1981 pour fêter les cinquante ans du premier Mundial. En quart de finale, le Brésil est méconnaissable défensivement : sur un corner puis une contre-attaque menée très rapidement, la Belgique prend l'ascendant sur la rencontre. Les Brésiliens l'emportent grâce à des buts d'Oswaldo Gomes (pt) et Osman (2-0)[t 3],[5],[6],[7] (d'autres sources indiquent que le match s'est conclu sur un match nul 3-3[8],[9]). Le gardien de but brésilien Moacir Barbosa, fautif sur le 2e but, est poursuivi toute sa vie par cette histoire et meurt en 2000 dans une grande pauvreté[24]. Pour l'attaquant de l'Inter Milan, c'est une revanche par rapport à la finale de 1998 et un retour inespéré après plusieurs blessures sérieuses. Le Brésil est par ailleurs vainqueur à neuf reprises du championnat d'Amérique du Sud (appelé Copa América depuis 1970). Garrincha, devenu le principal atout offensif de l'équipe, va se montrer à la hauteur des espérances. Les Brésiliens remportent tous leurs matchs, ce qui n'était pas arrivé à un champion du monde depuis 1970, marquant 18 buts dont 8 par le seul Ronaldo, meilleur buteur et joueur de la compétition. Ils assurent le premier tour avec sérieux, en remportant trois victoires (1-0 contre l'Espagne[75] et l'Algérie, 3-0 contre l'Irlande du Nord), puis passent facilement l'obstacle de la Pologne en huitième de finale. Après les « 3 R » de 2002, le Brésil s'appuie pour la Coupe du monde 2006 sur un « quatuor magique » Ronaldinho-Kaká-Ronaldo-Adriano[98]. Le Brésil a remporté plusieurs tournois plus ou moins amicaux, opposant plusieurs sélections, parmi lesquels : Le Brésil dispute également plusieurs trophées bilatéraux : Le Brésil est également invité à deux reprises à la Gold Cup par la Confédération d'Amérique du Nord, d'Amérique centrale et des Caraïbes (CONCACAF), et en atteint chaque fois la finale, en 1998 et 2003. Coutinho est maintenu à son poste et mène le Brésil lors de la Copa América 1979. La Seleção est … Le Brésil participe aux deux éditions du Championnat sud-américain de football organisées en 1959 par une Confédération sud-américaine (CONMEBOL) en plein trouble. Les Brésiliens parviennent deux fois à égaliser, malgré la solidité d'une défense commandée par Dino Zoff, le meilleur gardien de but du moment. L'année 1960 est également bien remplie, avec la 3e et dernière édition du Championnat panaméricain, où le Brésil envoie une sélection bis, une tournée en Europe, et pendant l'été la Copa Roca puis la Taça do Atlântico, une compétition amicale créée en 1956 rassemblant l'Argentine, l'Uruguay, le Paraguay et le Brésil. Outre la Coupe du monde aux États-Unis, le duo remporte deux fois la Copa América en 1989 et 1997. Usé par une saison très chargée, Ronaldinho est loin de sa meilleure forme. Étant donné que nombre de ses sélectionnés évoluent en Europe, le Brésil délocalise parfois ses matchs amicaux en Europe et utilise pour cela l'Emirates Stadium, inauguré en 2006 à Londres[147]. En demi-finale face au tenant du titre italien, Pimenta laisse Leônidas au repos et les Brésiliens, qui ont plutôt impressionné les observateurs par la qualité de leur jeu depuis le début de la compétition, s'inclinent 2-1[18],[19],[20]. Légende du classement mondial : Trois joueurs, dont deux Brésiliens, sont expulsés. site officiel de la Copa América 2011 (ca2011.com), Éliminatoires de la Coupe du monde de football 2018 : zone Amérique du Sud, Équipe du Brésil de football à la Coupe du monde 1930, Équipe du Brésil de football à la Coupe du monde 1958, Finale de la Coupe du monde de football de 1958, Équipe du Brésil de football à la Coupe du monde 1962, Équipe du Brésil de football à la Coupe du monde 1970, Supercoupe des champions intercontinentaux, Équipe du Brésil de football à la Coupe du monde 1982, matchs de qualification à la Coupe du monde, Équipe du Brésil de football à la Coupe du monde 1990, qualifications pour la Coupe du monde 1990, Équipe du Brésil de football à la Coupe du monde 1994, Finale de la Coupe du monde de football de 1994, Équipe du Brésil de football à la Coupe du monde 1998, Finale de la Coupe du monde de football de 1998, Équipe du Brésil de football à la Coupe du monde 2002, Équipe du Brésil de football à la Coupe du monde 2006, Équipe du Brésil de football à la Coupe du monde 2014, Équipe du Brésil de football à la Coupe du monde 2018, Confédération d'Amérique du Nord, d'Amérique centrale et des Caraïbes, Liste des matchs de l'équipe du Brésil de football par adversaire, Rivalité entre l'Argentine et le Brésil en football, Rivalité entre le Brésil et l'Uruguay en football, « Danielle Demetriou, « Brazil's past masters out-samba Exeter in 90-year rematch » », Dossier : Domingos da Guia, le divin maître, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Équipe_du_Brésil_de_football&oldid=180862093, Lauréat du prix Princesse des Asturies en sport, Article contenant un appel à traduction en portugais, Article contenant un appel à traduction en anglais, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Un an plus tard, les lois du jeu évoluent et autorisent officiellement le remplacement d'un joueur par match à la convenance de l'entraîneur[38]. Outre Pelé, Garrincha, Nilton Santos et Carlos Alberto Torres, la liste honore 21 joueurs : Bebeto, Didi, Djalma Santos, Falcão, Gérson, Gilmar, Jairzinho, Julinho, Rivaldo, Rivelino, Roberto Carlos, Romário, Ronaldinho, Ronaldo, Sócrates, Taffarel, Tostão, Vavá, Mário Zagallo, Zico et Zizinho[163]. Garrincha est élu meilleur joueur de ce mondial, finit co-meilleur buteur avec 4 réalisations et réalise plusieurs passes décisives. Zico est cité dans onze des douze classements des meilleurs joueurs du XXe siècle retenus par la Rec.Sport.Soccer Statistics Foundation en 2009, ce qui le place au 2e rang parmi les joueurs brésiliens après Pelé[176]. Seize matchs de préparation sont organisés en deux mois. Pentacampeões (en français : « Les quintuple champions ») est le dernier surnom, en référence au nombre de titres suprêmes. Pour le Mondiale 1990, Lazaroni conserve son schéma tactique. Le premier, champion du monde en 1958 et 1962 (à 37 ans) après avoir participé à celles de 1950 et 1954, révolutionne le poste d'arrière latéral en lui donnant une dimension offensive qu'il n'avait pas jusqu'alors[162]. L'équipe en ressort avec un bilan satisfaisant : premier trophée majeur depuis la Copa América 2007[140], un seul but encaissé sur penalty, et des joueurs récompensés (Everton Soares est élu meilleur buteur, Alisson Becker nommé meilleur gardien, tandis que Daniel Alves est élu meilleur joueur du tournoi). Zico est accompagné lors des tournois de 1982 et 1986 par deux autres joueurs honorés par le Museu do futebol : Falcão, un des meilleurs joueurs du tournoi 1982[60], et Sócrates, porte-drapeau de la démocratie corinthiane et capitaine de la sélection en 1982[178],[179]. Le football au Brésil, Une grand’ messe à ne manquer sous aucun prétexte . Elle compte pourtant dans ses rangs plusieurs joueurs mulâtres, au premier rang desquels sa vedette Friedenreich[l 1]. Pelé est généralement considéré comme le plus grand footballeur du XXe siècle, il est notamment le seul footballeur à avoir été champion du monde à trois reprises, en 1958, 1962 et 1970 avec la sélection brésilienne. Ce terme est d'ailleurs utilisé pour toutes les équipes de tous les sports. Palmarès de l'équipe du Brésil de football. Par extension ce terme désigne l'équipe entière. Dunga, milieu défensif intraitable, est au centre de l'équipe. Cette fois la sélection est victime de conflits entre tenants du professionnalisme (autorisé au Brésil en 1933[l 1]) et de l'amateurisme, qui comptent chacun leur fédération. Menezes renouvèle l'effectif, en appelant le duo vedette de Santos Ganso et Neymar et écartant d'emblée de nombreux mondialistes. Du côté de la sélection, les débuts de Tite sont salués par la presse nationale et internationale : il termine l'année sur six victoires en six matches, permettant à l'équipe de passer en tête du classement des éliminatoires de la Coupe du monde[128]. Parmi les autres stades du pays, la sélection utilise notamment le stade olympique João-Havelange de Rio de Janeiro, construit pour les Jeux panaméricains de 2007 et utilisé par l'un des principaux clubs de la ville, Botafogo ; le Morumbi et le Pacaembu à São Paulo, dont sont respectivement résidents le São Paulo FC et Corinthians ; le Mineirão à Belo Horizonte, exploité par Cruzeiro ; le stade national de Brasilia, situé dans la capitale du pays ; ou encore l'stade Beira-Rio à Porto Alegre. Depuis la création du classement FIFA, le classement moyen du Brésil se situe au 3e rang (meilleure moyenne du classement FIFA)[142]. Parmi les nombreux joueurs de football brésiliens ayant marqué l'histoire de la sélection, l'attaquant Pelé, seul triple vainqueur de la Coupe du monde entre 1958 et 1970, est considéré généralement comme le plus grand joueur de l'histoire du football. Le gardien de but Gilmar est également des deux premiers sacres du Brésil - il est considéré comme le meilleur spécialiste sud-américain au XXe siècle[167],[168]. Sur le terrain il est en tout cas parfaitement muselé. Les Argentins remportent le tournoi. International de 1976 à 1988, le milieu offensif Zico, surnommé le « Pelé blanc »[174], va emmener la sélection lors des Coupes du monde de 1978, 1982 et 1986, qui se terminent toutes de manière prématurée[175]. Le Brésil envoie une sélection bis au Championnat sud-américain de 1963, organisé par la Bolivie à La Paz notamment, à 3 600 m d'altitude. Le match de classement contre les Pays-Bas ne donne pas plus de réussite aux Brésiliens (0-3). Coutinho s'y passe volontairement de Falcão, un des meilleurs joueurs du moment[60]. Après avoir fait l'impasse en 1947, le Brésil obtient l'organisation du Championnat d'Amérique du Sud de 1949. Face au Pérou, déjà rencontré lors du premier tour, le Brésil ne force pas et remporte la compétition (3-1). C'est un entraineur expérimenté, adepte du « football samba », concrètement un jeu simple et offensif faisant la part belle au talent individuel de ses joueurs. Face au refus de Fluminense de libérer Muricy Ramalho, Ricardo Teixeira, l'omnipotent président de la Confédération brésilienne, nomme Mano Menezes. Malgré une victoire initiale sur la Bulgarie, grâce à deux buts de Garrincha et Pelé, le Brésil est piteusement éliminé dès la phase de poule après deux défaites face à la Hongrie puis au Portugal (1-3 à chaque fois). Les Tchécoslovaques Plánička et Nejedlý subissent des fractures respectivement au bras droit et la jambe droite, tandis que Košťálek, Leônidas et Perácio doivent quitter le terrain sur blessure en cours de partie. En 1977, Cláudio Coutinho, un entraîneur novice mais aux idées bien arrêtées, est nommé sélectionneur. La Seleção est l'une des meilleures équipes nationales du monde. La rivalité entre les fédérations de l'État de São Paulo et de Rio de Janeiro devient telle que chaque fédération refuse de voir évoluer ses joueurs avec ceux de l'autre fédération[14]. Le Français Zinédine Zidane, auteur des deux premiers buts sur corner, s'est montré décisif[94]. Lors du second tour, les Brésiliens montent en puissance : ils battent le Pérou (3-0, doublé de Dirceu) puis assurent le match nul face à la sélection hôte, au bout d'un match fermé et brutal (0-0)[n 4].
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